Libération, 3 avril 2012
L’épisode récent des tueries de Toulouse met en lumière un problème récurrent des campagnes présidentielles : le statut du président-candidat crée de fait une iniquité par rapport aux concurrents, alors que la Constitution prescrit l’égalité face au suffrage et, surtout, le pluralisme et la participation équitable des partis à la vie démocratique de la Nation. Lire la suite de l’article.
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