Atlantico, 16 janvier 2013
La révision constitutionnelle de 2008 oblige le gouvernement à informer et à débattre. De leur côté, les assemblées organisent, sans voter, l’expression des opinions politiques. Le processus mis en œuvre par François Hollande dans le cadre de l’intervention militaire au Mali est normal à tous les titres, soit conforme à la tradition constitutionnelle : prééminence du chef de l’État dans l’action militaire d’urgence – 1 – ; respect des rôles du Gouvernement – 2 – ; et du Parlement – 3 -, demeurant incontournables, mais subsidiaires. Lire la suite de l’article.
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